Avez-vous déjà entendu parler du terme jardin écologique ? Un éco jardin est à la fois un mélange de nature et de jardin. La plupart des jardins conventionnels contiennent des espèces envahissantes et les parasites sont tués à l’aide de pesticides nocifs.
Étape 1 : préparer le sol
Avant de pouvoir commencer votre jardin écologique, il est important de commencer par la partie la plus fondamentale du jardinage : Le sol. Sans un bon sol, rien ne poussera (sauf peut-être quelques mauvaises herbes). Ne perdez pas votre temps à ajouter des engrais chimiques au sol. Utilisez plutôt des remèdes naturels pour ajouter des nutriments. Des produits comme la farine de sang, la farine d’os, la farine de graines de coton et l’émulsion de poisson sont bons. grelinette
Mais le plus grand nutriment du sol est le compost ! Envisagez d’acheter ou de fabriquer un bac à compost (même les petites cours devraient pouvoir accueillir un petit bac à compost). Le compost est essentiellement constitué de déchets alimentaires mélangés à d’autres matières organiques qui se sont décomposées. Parmi les matières qui méritent d’être compostées, on trouve le papier déchiqueté, les restes de fruits et de légumes, les feuilles mortes, les tontes de pelouse, les coquilles d’œufs, le marc de café et les restes de repas.
Une fois que vous avez rassemblé suffisamment de matières pour le tas de compost, celui-ci devrait générer sa propre chaleur à mesure que les matières se décomposent. Vous pouvez aider à garder le tas humide en ajoutant un peu d’eau et l’aérer en le retournant avec une fourche. Ou, pour vous simplifier un peu la vie, vous pouvez aussi acheter un bac à compost culbutant.
Quand vous avez tous ces nutriments supplémentaires, assurez-vous de les mélanger tous à la terre. Maintenant, votre jardin sera prêt à être planté !
Étape 2 : Choisir des plantes indigènes
Lorsque vous créez un jardin écologique, il est important de choisir des plantes indigènes à cultiver. En effet, cela permettra de créer de la biodiversité. De plus, les espèces indigènes nécessitent moins d’eau, d’engrais et de travail. Elles se développeront sans aucun doute, à condition que vous sachiez quels sont leurs besoins individuels. Ainsi, même si ce rosier a l’air charmant, vous devez tenir compte de ce qui convient réellement à votre région lorsque vous créez un jardin écologique. Faire quelques recherches à ce sujet ne doit pas être trop difficile : Il suffit de chercher sur Google « plantes indigènes », puis d’écrire le nom de votre État. Vous pouvez également vous rendre dans une pépinière locale et demander quelles plantes sont indigènes à votre région. Vous pourriez même être en mesure d’obtenir quelques-uns d’entre eux pendant que vous êtes là.
Vous pouvez commencer les indigènes à partir de graines, ou vous pouvez les faire pousser à partir de jeunes plants. Quel que soit votre choix, assurez-vous de les placer dans un endroit qu’ils préféreront : Préfèrent-ils être près de l’eau ? À l’ombre ? En plein soleil ? Quel que soit ce dont elles ont besoin pour prospérer, assurez-vous de le découvrir à l’avance. Vous pouvez même envisager de planter des arbres indigènes : Cela permettra de fournir de l’ombre et un abri aux animaux, comme les oiseaux. Ou, si votre plante se développe près de l’eau, vous pourriez envisager d’installer un étang miniature. En outre, pensez à donner à vos plantes indigènes une plante compagne qui les aidera à s’épanouir. Cela peut nécessiter quelques recherches supplémentaires, mais la faune de votre région l’appréciera grandement !
Étape 3 : Conserver l’eau
Dans un jardin écologique, il est important qu’aucune eau ne soit gaspillée. Pensez peut-être à investir dans une ligne de goutte à goutte ou un tuyau d’arrosage pour arroser votre jardin. Ces dispositifs arrosent efficacement les plantes car ils ciblent les racines des plantes. Vous pouvez également disposer des barils ou d’autres récipients pour recueillir l’eau de pluie de vos tuyaux de descente. Ensuite, vous pouvez simplement utiliser l’eau de pluie récupérée dans votre jardin (ou même sur votre pelouse !). Si vous ne savez pas comment fabriquer un baril de pluie, vous pouvez toujours en acheter un. Ce baril de pluie est fabriqué à partir de barils d’olives recyclés à 100 % et peut contenir jusqu’à 60 gallons. Considérant que la personne moyenne utilise 100 gallons d’eau par jour, je pense qu’il est temps de commencer à réfléchir à nos niveaux de consommation d’eau et de faire tout ce que nous pouvons pour la conserver.
Étape 4 : Réduire les parasites avec des prédateurs naturels
Une autre lutte de jardinage à laquelle la plupart des gens sont confrontés est les parasites. Je recommande vivement d’inviter des oiseaux (et peut-être même des chauves-souris !) dans votre jardin. Ils aideront à chasser un grand nombre de parasites naturels qui peuvent nuire à un jardin. Accueillez-les en installant une maison pour oiseaux ou chauve-souris. Ou bien, introduisez une mangeoire pour oiseaux dans votre jardin. Il existe également certaines plantes que les oiseaux et les chauves-souris aiment et que vous pouvez envisager de planter. Faire vos recherches à ce sujet peut vous aider beaucoup et maintenir un mini écosystème très vivant dans votre jardin.
Vous pouvez aussi accueillir des insectes utiles, comme les coccinelles, les abeilles et les papillons. Les coccinelles mangent beaucoup de parasites qui sévissent dans les jardins, et les papillons et les abeilles aideront à polliniser votre jardin. Pensez à fabriquer une mangeoire pour coccinelles ou à construire une ruche. Les papillons aiment des fleurs spécifiques, alors pensez à rechercher des plantes indigènes que les papillons aiment dans votre région.
Si, pour une raison quelconque, les prédateurs naturels ne fonctionnent pas, investissez dans un pesticide biologique. Vous pouvez même apprendre à fabriquer vos propres pesticides biologiques. Garder tout ce qui est organique et naturel garantit que vos plantes, et la faune qui les visite, n’ingèrent pas de toxines.